Ma dernière chronique et surtout son titre* n’ont pas laissé les lecteurs ou les internautes insensibles à la nuance de mes propos et certains ont visiblement voulu falsifier la teneur et l’esprit espiègle de celle-ci. « C’est normal, qui aime bien châtie bien ! ».
J’encourage aussi ceux qui décortiqueront à l’avenir mes écrits à tourner sept fois leur langue dans leur bouche et les invite à se poser sept fois la même question, voire même relire sept fois, les mots, les phrases ou l’article en totalité pour éviter de prendre des raccourcis qui se transforment bien souvent en joutes littéraires sans relief voire même pire en « diffamation intellectuelle ». Voilà, ça c’est dit !
Revenons donc à nos moutons et ne voyez là aucune métaphore sur le management de Frédéric Antonetti.
« Rennes va bien ! » Entendons-nous par là, « Rennes va mal ! » peut-on lire des fois, « Rennes va mieux » s’exclame-ton trois jours après. Car, effectivement, force est de constater que le début de saison de notre équipe favorite nous fait goûter le chaud (So show à Sochaux avec « le jeu, set et match !») et le froid (Montpellier, Belgrade et Nancy) à s’en mordre les dents.
C’est donc sur un mode ondulatoire ou avec un style « montagnes Russes » que Rennes termine son premier trimestre de compétition avec, quand même, des statistiques qui parlent en sa faveur. Que ce soit en phases préliminaires d’Europa League avec une qualification facile pour les poules aux d’œufs d’or, ou en championnat national, les Rouge et Noir sont en confiance et ont eu la bonne idée de prendre, non seulement des points, mais aussi le titre de meilleure attaque de ligue 1 avant de subir, sans doute, le rythme d’un match tous les 3 jours jusqu’à la trêve hivernale.
Quant aux puristes dont je fais partie, le jeu proposé est souvent lié à l’état de fraicheur d’une équipe à la propension plus physique que technique (hormis Dalmat, Féret et Hadji). Le collectif rennais trouve souvent sa grâce ou sa disgrâce quand les solistes sont virevoltants et inspirés alors que les principes de base du jeu collectif sont bafoués. Désolé, mais Je ne peux m’empêcher de penser à cette action de jeu à l’Udine (45ème minute) où notre Jirés Kembo, j’allais dire national mais qui hésite encore entre la sélection congolaise et française, oublie Alexander Tettey seul face au but Italien, juste avant la mi-temps d’un match qui aurait dû être plié.
Tout un symbole, Rennes d’un soir, irritant au fond de l’abîme mais reine de beauté à Bonal un soir de fin d’été !
« Par tous les stades ! ». Jamais une campagne d’abondement n’aura collé aussi parfaitement aux états d’âme de ses supporters. Alors, quel stade pour le prochain match ? C’est peut être aussi pour cela que le public est plus spectateur que supporter. Dans cette incertitude, il attend sa voie en espérant le nirvana.
* « Chronique d’une mort annoncée » et non amorcée !
Jean-Marc Mézenge
Jean-Marc Mézenge est l’ancien adjoint de Raymond Kéruzoré et consultant sur France bleu Armorique.
Vu que l’on ne peut pu contredire Mrs Mézange alors je vais m’astreindre à garder mes réflexions pour moi même car malgré ce que l’on veut bien penser l’eau n’est pas si claire que ça au stade rennais!!!!
Détecter l’esprit espiègle d’un article, si l’article est bien écrit ne devrait pas être un problème. Malheureusement c’est raté, et l’espièglerie qui pourrait laisser la place à l’ironie se transforme en pamphlet. Un peu de simplicité dans la façon d’écrire serait le bienvenu.
Finalement, ce n’est que du football, un sport populaire.
Je suis tout à fait d’accord avec optionz un peu de simplicité dans l’écriture vous ferait gagner en clarté. Par ailleurs, pourquoi classer Belgrade parmi le froid avec Montpellier et Nancy ?
Peut être une confusion avec Udine. Alors,relisez vous… sept fois si nécessaire.
PS : Si les animateurs télé utilisent » voire même » 50 fois par émission, cela n’en est pas moins une faute de français.
Mr Mezange concentrer vous sur l’aspect footballistique du stade rennais et de grace epargnez nous vos « joutes » qui n’ont rien de litterraires .
Cette chronique me rappelle un peu une vieille chanson des Charlots « les contre élucubrations problématiques ».