
Il y a cinq ans, je m’étais promis de ne plus revenir.
Je n’avais pu être à Saint-Denis en 2009. Mais en 2013 et 2014, j’y étais. Dans ce virage nord du stade de France où se sont forgées maintes et maintes désillusions en l’espace de cinq ans. L’impuissance ressentie en 2013, le match honteux de 2014, tout ça couplé à la gifle de 2009 et à tout le reste, c’en était trop. Franchement. Le genre de moments où le fer rouge marque la chair, où chaque minute en tribune tourne à l’insupportable. Fini le stade de France, donc. Pas de quoi retourner mon maillot de supporter, bien sûr, mais un vaccin anti-dyonisien pour s’éviter trop de souffrances. Et puis… et puis…
